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MAIRIE VLM et autres COLLECTIVITES LOCALES
8 mai 2017

HONTE A CE MAIRE

Honte au Maire de VILLIEU.L.M qui se conduit comme un collégien capricieux en refusant de se plier aux demandes justifiées d’interventions d’un de ses administrés par des excuses fallacieuses et tendancieuses, le laissant délibérément exposé en permanence à la vindicte des locataires de l’internat de Mollon, et en dédaignant d’appliquer des mesures de précautions.

 Il ne fera rien pour protéger ce troisième âge (75 ans) qui est persécuté à longueur d’années et agressé par les pensionnaires et personnel haineux du Centre Saint Exupéry de 01 MOLLON

 Ce comportement ne peut qu’être qualifié d’odieux.

 Par son laxisme récurrent il a provoqué, une fois de plus, l’agression du voisin, ce troisième âge, chez lui, le 19 mars, par les locataires de ce Centre, en lui défonçant son entrée (portail et portillon) et en essayant de l‘atteindre en donnant une série de coups de poing à la volée, par-dessus le portail, esquivée par la victime, outre des insultes à vomir, ceci pendant une vingtaine de minute.

 Ce n’est pas la seule intervention de représailles depuis des années, ce mois de mars a été plus que chargé.

 Le maire n’a aucune envie de faire cesser cette situation, il le dit, il ne fera rien en l’état des choses.

 En effet, ce maire, dans un courrier faisant suite à sa mise en cause, en sa qualité de bailleur et de maire, premier magistrat de la commune, dit vouloir attendre, pour se manifester, le résultat d’une action de justice que devra initier la victime et, auquel, à ce moment-là, il se conformera. Il attendra donc d’être traduit en justice, belle façon de faire face à ses responsabilités et d’assumer ses deux casquettes : maire et bailleur du pensionnat.

 Ce qui veut dire, qu’en attendant, il ne bougera pas, ce comportement est indigne d’un maire, c’est une attitude complètement irresponsable et dangereuse.

 Cette attitude est un signe implicite supplémentaire de soutien, un permis de ‘’tuer’’, une sorte de garantie d’impunité aux vandales, mineurs et majeurs, qui ne se gênent pas pour s’en prévaloir comme d’habitude.

 Sa bonne volonté est encore mise à mal quand il dit, dans ce courrier, qu’il n’a pas à s’immiscer dans une plainte en cours pour expliquer sa non-intervention - qui n‘est qu’un alibi - il argumente, cette fois, d’une façon diamétralement opposée à un précédent écrit de défense pour justifier son immobilisme opportuniste.

 En effet, dans une de ses répliques de défense, suite à une saisine du Tribunal administratif en 2011, il reconnaît qu’il a un droit de regard dans une enquête en cour et, justifie ce droit d’intrusion, dans le temps du délai d’instruction, en invoquant de vagues accords ou principes qui permettraient à un maire de prendre connaissance du contenu d’une plainte, dans laquelle il n’est pourtant pas visé, avant d’éventuelles suites judiciaires. Ce moyen de défense argué par le passé annule sa pathétique excuse pour le cas présent.

 Outre ses allégations et excuses fantaisistes formant sa réponse sur ses responsabilités immédiates, il faut rajouter l’affirmation mensongère contenue encore dans une de ses réponses d’une de ses répliques de défense pour le Tribunal Administratif, toujours en 2011, dans laquelle il affirme au juge, que le Centre Saint Exupéry de 01 MOLLON ne recevra désormais plus que des petits.

 Qu’appelle-t-il petits, s’il y a des enfants petits dans cet internat, ils représentent moins de la moitié de l’effectif, et l’autre partie est représentée par des enfants grands c’est-à-dire adolescents.

 Comment peut-on imaginer que des petits aient pu passer les bras pour envoyer une volée de coups de poing par-dessus un portail de 1m50 de haut il faudrait déjà avoir les épaules à cette hauteur, s’il fallait une preuve supplémentaire elle se trouve dans les dates de naissances des P.V des individus auditionnés par les Gendarmes.

 Tous les moyens de contre-vérité, tous les prétextes sont bons pour ce maire, pour laisser perdurer les choses en espérant que le temps jouera en sa faveur afin d’arriver à ses fins, fins inavouables.

 Sa mauvaise volonté et sa mauvaise foi se vérifient aussi par sa parfaite connaissance de la réalité des événements, car ceux-ci lui ont été confirmés par la responsable n° sept de son locataire en titre, le Centre St Exupéry, qui a assisté le dimanche soir 19 mars, après 20 heures, à l’intervention de la Gendarmerie sur place, dans l’internat et à l’interrogatoire dans le même temps des auteurs de l’agression ce qui a permis, de suite, de les confondre, y compris les adultes éducateurs ayant participé à celle-ci.

 De plus il a connaissance par la gendarmerie du contenu de la déposition de la victime et des dépositions, à leur sauce, des délinquants, mineurs et majeurs, auteurs du vandalisme. Le maire/bailleur peut donc en toute connaissance de cause prendre des mesures coercitives provisoires mais il ne le veut pas.

 À ce sujet la bienveillance de la Gendarmerie vis-à-vis des exactions des pensionnaires et personnel de ce pensionnat semble se vérifier, de plus, elle avait décrété- formellement – qu’elle mettrait au courant la victime du déroulement de son enquête, il n’en a rien été. Un gendarme a d’ailleurs reproché à la victime de vouloir s’opposer à ces agressions, donc en clair il faudrait laisser faire, subir et surtout se taire ? C’est ce qui doit s’appeler un comportement neutre et impartial.

 Le maire prétend sans vergogne avoir à chaque événement officialisé du genre de ceux-ci fait le nécessaire.

 Qu’a-t-il exactement été fait par la Municipalité depuis qu’elle a créé cet internat en 1999, afin de faire obstacle aux risques que représente ce genre d’activité de par son type de population accueillie :

 

des grilles anti projections sur les fenêtres pignon Sud, elles ont été placées après plus de sept ans de démarches dont l’initiative n’est pas le fait de la Municipalité mais du directeur du moment qui avait reconnu que cela aurait dû être réalisé depuis longtemps ;

 

une clôture de protection sur les limites des propriétés à risques, elle a été réalisée partiellement après seize ans de plaintes, action bâclée, clôture non aboutie sur la partie cour et totalement absente sur le retour petit jardin ;

 

- la charte de respect de voisinage, pièce maîtresse, que les parties avaient accepté d’élaborer en commun et de mettre en place, mais le maire n’a pas le courage d’imposer la mise en application du brouillon présenté, parce que piégé et empêtré dans un conflit d’intérêts. L’absence aussi dans le bail de conditions devant former le règlement d’exploitation des locaux laisse ainsi la porte ouverte à tous les excès sans pouvoir tout, naturellement, les sanctionner par le bailleur. Cette rédaction du bail est bien fantaisiste et est le résultat d’un amateur.

 Tant que cette charte, pièce indispensable, ne sera pas imposée, le personnel se sentira dans son bon droit d’alimenter la haine pour le voisin et, ce personnel en ‘’bon’’ éducateur, continuera à normaliser l’incivisme en donnant l’exemple aux pensionnaires qu’ils peuvent transgresser impunément la loi, humilier et agresser le voisin si celui-ci se plaint, les autorités de tutelles fermant les yeux, voire les couvrant, ce qui a été le cas jusqu’à maintenant.

 On peut se demander pourquoi, si ce n’est pas pour de cupides considérations financières, le maire, qui est aussi le bailleur - puisque c’est la Municipalité qui loue à cette association l’internat qu’elle a aménagé clé en main - qui a en sa possession toutes les informations irréfutables nécessaires pour procéder à une mise en demeure de son locataire, dans le cadre de la loi sur les obligations des loueurs, et en tant que maire, n’exige pas de son locataire en titre dont le siège est à 69100 VILLEURBANNE, qu’il prenne des mesures disciplinaires provisoires vis-à-vis des éducateurs en cause par une mise à pied afin de protéger la victime qu’ils ont à portée de mains, puisque voisin immédiat, et d’exiger leur renvoi en cas de condamnation.

 Enfin, d’exiger qu’une charte formant conditions additives au bail et au règlement intérieur, comportant les conditions du brouillon rédigé en commun soit mise en place officiellement amiablement ou par décision contraignante du bailleur/maire et sous contrôle d’application par la Municipalité.

 Mais si tel était le cas comment, alors, se débarrasser de ce vieux qui clame son bon droit, que l’on cherche par tous les moyens de supprimer en l’encourageant à fuir qui, de par son antériorité de présence, est difficilement délogeable légalement ! La fin, pour certains sans scrupule adeptes de Machiavel, justifierait les moyens.

_____________________________

 Ci-dessous copie de la lettre faxée le 04 mai 2017 faisant réponse au courrier du maire dans lequel il dit qu’il attendra le judiciaire.

 « A

Monsieur le MAIRE

de 01800 VILLIEU. L.M

-Concerne l’agression du 19/03/2017

Du Centre St Exupéry votre locataire

-Votre lettre datée du 24 avril 2017

 Monsieur le Maire,

 Comment osez vous prétendre que vous faites chaque fois le nécessaire à mes dénonciations de troubles dangereux et d’agressions de vos locataires du Centre Saint Exupéry ‘’Les Planètes’’ 01800 MOLLON.

 Il n’y a qu’à regarder le résultat totalement incomplet du laborieux rendez-vous du 29 mars 2016, l’exécution partielle, qui a mis 8 mois, ne vous honore pas, quant à vos autres actions il n’y en a jamais eu de constatées ou portées à ma connaissance.

 Vous parlez d’engagements pris par la remplaçante, numéro sept, du directeur sortant, ou sorti, sans avoir la correction d’énumérer ces fameux engagements qui ne seront, comme, chaque fois, que des vœux pieux et partiels.

 S’il y a des intentions, dites-vous, de la remplaçante elles n’auront au mieux d’effets que le temps de sa bonne assiduité à son poste qui d’ailleurs s’amenuise, d’autant plus qu’il semblerait qu’elle ne soit que mandataire de votre locataire en titre.

 Je constate que vous n’avez pas, en tant que maire, imposé de mesures, et en tant que bailleur vous ne fournissez pas la preuve que vous avez mis en demeure officiellement, votre locataire en titre, que la persistance des exactions de ses pensionnaires supportées par l’environnement immédiat habité peut aboutir à une résiliation du bail.

 Vous arguez du résultat de la plainte en cour, pourtant contenu du suivi connu par vous, par indiscrétion des Gendarmes.

 Vous n’êtes pas gêné d’utiliser la formulation suivante : « les actes que vous estimez avoir été victime… »

 Je n’estime rien, ces faits ont été constatés le soir même du 19 mars 2017, par la Gendarmerie de 01 MEXIMIEUX et les auteurs confondus parmi lesquels deux surveillants appelés éducateurs qui ont reconnu avoir participé à l’agression. Bien que les Gendarmes, qui m’ont semblé assez partiaux et amusés, xx puissent se désavouer.

 Enfin, de constater que les deux ‘’éducateurs’’ agresseurs sont toujours en activité et s’affichent ostentatoirement à la victime est une provocation difficilement supportable. Ils bénéficient sans doute de la formule ‘’présomption d’innocence’’ qui là, ne peut qu’être que cataloguée d’hypocrite.

 Vous encouragez ces gens-là à transgresser les lois, la preuve avec l’agression en question, ils ne se gênent plus, sûrs de leur impunité. Certains, dont un agresseur, donnent aussi le bon exemple à leurs pensionnaires en maquillant leur plaque avant de voiture, c’est sans doute bon pour le civisme des enfants et adolescents en rupture de ban, alors un vieux…

 Je suis outré de vos faux-fuyants et de votre superficialité, c’est comme cela que l’on fabrique des forcenés, quand l’on cherche trop on trouve obligatoirement, dans ce cas les retombées affecteront toutes les parties sans exception.

 Agréez, Monsieur le Maire, mes salutations distinguées.

 

AbAc

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  • Traite de leurs abus et plus particulièrement ceux des municipalités et agents de mairie qui n’hésitent pas à pratiquer le laxisme l’arbitraire la rétention de pièces administratives, la discrimination acculant certains administrés à saisir la justice.
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